Société

Assises de la jeunesse : s’approprier les moyens de transformation du pays

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La deuxième édition des Grandes assises de la jeunesse gabonaise doit avoir lieu le 29 octobre prochain, à Libreville. Hier, l’initiateur de cet événement, Hercule Nze Souala, était face aux hommes et femmes des médias pour leur en expliquer les contours.

Le président du mouvement Wabouna et son comité d’organisation ont édifié les journalistes sur les enjeux de cet événement d’envergure pour la jeunesse gabonaise et qui permettra d’aborder des questions d’importance la concernant. Non sans louer les efforts consentis par les entreprises et les autres forces vives de la nation, mais aussi par les plus hautes autorités du pays, en vue de l’organisation  de cette deuxième édition des Grandes assises de la jeunesse gabonaise.

Le chef de l’État, Ali Bongo Ondimba, a dédié son deuxième septennat à la jeunesse gabonaise. Estimant que « l’avenir lui appartient ».

Ce qui fait dire à Hercule Nze Souala que « l’avenir du Gabon est intrinsèquement lié à la capacité de sa jeunesse à s’approprier les moyens de transformation et de développement ».

L’événement à venir sera donc une nouvelle occasion de soutenir les initiatives et actions du président de la République, non seulement en faveur de la jeunesse, mais également pour le développement du pays.

Le thème retenu pour la deuxième édition de ces Grandes assises est « l’apport de la jeunesse dans le processus d’accélération de la transformation du Gabon ». Avec des sous-thèmes portant sur l’éducation, l’entrepreneuriat, la formation professionnelle, le numérique, la santé, le sport, l’environnement, la culture, les arts, la politique…

Ce sera l’occasion pour plus de 3000 associations de jeunes de se réunir et de discuter, sans tabou, des questions qui touchent cette frange de la population. « La jeunesse gabonaise, quelle que soit son appartenance ethnique, politique ou religieuse, est invitée à prendre part à cette grande rencontre pour discuter des maux qui minent son quotidien », a lancé Nze Souala.

 

 

Caroline Bivigou
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