L’intégration économique demeure une des grandes priorités des pays membres de la Communauté économique et monétaire de l’Afrique centrale (Cémac). D’où leur ambition d’accroître leurs échanges commerciaux à l’horizon 2030.
Depuis le 6 septembre courant, les experts du commerce extérieur sont réunis à Brazzaville au Congo, pour esquisser des pistes de solutions en vue d’augmenter les transactions commerciales au sein de l’espace communautaire. Ce qui réjouit Clément Belibanga, le commissaire en charge du département des politiques économiques, monétaires et financières de la Cémac.
A tout considérer, les pays d’Afrique centrale ambitionnent d’atteindre ou dépasser 6% du commerce intracommunautaire dans 8 ans. De 2014 à 2017, la moyenne annuelle des échanges des pays de la Cémac a été de 3,5%, selon les chiffres officiels.
Si les infrastructures portuaires sont essentielles dans ce challenge, les réseaux routiers le sont autant. Sauf qu’à ce jour, seuls quelques pays de la sous-région sont parvenus à relier leurs routes, avec l’appui de la Banque africaine de développement (BAD), notamment le Congo, le Gabon et le Cameroun.
Au demeurant, les assises qui se tiennent actuellement dans la capitale congolaise sont primordiales pour la mise en œuvre du nouveau programme statistique 2021-2030, dédié au développement du commerce intracommunautaire.
Par Guy Romuald Mabicka
Caroline Bivigou
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Caroline Bivigouhttps://gabontelegraph.com/author/guyromualdmabickayahoo-fr/
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