Société

CHU Jeanne Ebori: « Nous ne séquestrons pas les patients »

Accusé à tort ou à raison pour un phénomène de séquestration de patients après des accouchements et des soins, le centre hospitalier universitaire mère et enfant fondation Jeanne Ebori (CHUMEFJE) est victime d’un acharnement médiatique selon le directeur général, Pr Jean François Meye. Pour lui, « le CHUMEFJE n’a pas de difficultés particulières. Elle fonctionne correctement, mais malheureusement pour nous, une minorité de personnes qui viennent pour des soins de santé, ne prennent pas le temps de s’informer et propagent de fausses informations sur les réseaux sociaux. Notre structure sanitaire a un statut particulier, nous fonctionnons grâce au recouvrement de nos prestations. Si les patients ne paient pas les soins, comment allons-nous entretenir la structure ? » De plus, précise-t-il « nous ne séquestrons pas les patients. Il y a une procédure qui est mis en place pour permettre aux personnes en difficultés financières de s’enregistrer auprès de notre sociale, afin d’un appui. C’est dommage que les gens sabotent le travail qui est fait, nous recevons près de 200 patients par jour. Il est nécessaire que les gens apprennent à mieux s’informer ». Par Joachim Ndong
Jean Marc Azizet

Laisser un commentaire